Continuez donc à nous inondez de vos vers si légers par ici, je vous pries

Parfois

Parfois on a peur de ce que l'avenir nous réserve, parfois on pleure à s'en mordre les lèvres... On voudrait que tout soit simple que les passions soient réelles mais les larmes encore et encore dans nos coeurs se révèlent...
J'aimerais raconter l'histoire d'une vie que je n'ai pas encore vécue, mais ce soir en cette nuit trop de chose m'ont déçue. Celle pour qui mon coeur se déchire aujourd'hui me donne envie de fuir, mais même si je l'aime, même si elle m'aime, je sais que toute passion serait à présent déraison. Je voudrais vivre ne serait-ce qu'une joie éphémère, car cet amour où mon âme s'enterre ne m'apporte que la peur et la douleur, la mélancolie d'une comptine d'été, le souvenir de promesses oubliées... Je voudrais effacer pour recommencer, tout renier dans l'humilité et à nouveau espérer la réunion sacrée des passions altérées. N'est ce qu'un rêve ? N'est ce qu'une trêve ? Je n'ai plus aucune force, brisée est mon écorce et même si les larmes redoublent, elles n'apaiseront aucun trouble...

Zarno

Ta douleur est à vivre, il faut qu'elle te délivre.
Ne t'enferme pas dans ce monde de souffrance et de malchance.
Tu es bien, bien au delà de tout ça. La vie est un labyrhinte que nous défions, de jours en jours, d'heures en heures nous nous perdons. Mais jamais au grand jamais n'oublions, que l'essentiel reste à vivre, que l'avenir c'est survivre...Que la force d'un amour, même déchu, est une puissance divine, une rédemption, bien des cris perdus.
Pour vivre encore cette émotion, accroche toi à la cîme des arbres. Regarde ce que tu as vaincu, nombreuses batailles, ces guerres si difficiles. Et regarde devant toi, la vie qui t'ouvre ses bras. Le monde n'attend que toi...

"(...) mais ce soir en cette nuit (il faudrait savoir si c'est le soir ou si c'est la nuit...) trop de choses (avec un "S"...) m'ont déçuE. (...)"... Zarno est-il devenu une femme ou s'est-il déjà incarné dans la peau d'Isis ?..

Yves-49 est d'humeur taquine aujourd'hui

vigi a écrit : Yves-49 est d'humeur taquine aujourd'hui
Oui en effet, j'attend avec impatience la réponse de Zarno
"L'erreur est humaine", toi aussi Yves-49 tu en fait des erreurs.
De plus ces erreurs (si on peut appeler cela des erreurs) sont excusables puisque à mon avis il l'a écrit hier soir ! (si tel n'est pas le cas c'était d'actualité; et j'y étais malgré moi pour quelquechose).

Euh non, il a presque un an ce poème lol
Fin bref, moi je le trouve surtout lourd le Yves...

- "A fleur de peau" -

- Sonnet -


Te prendre par le cou sans penser à demain
Et sur tes belles épaules resserrer les mains.
Effleurer des doigts tes cheveux noirs et fins
Emmêlés encore quand vient le petit matin.

Découvrir l’éclat automnal de tes grands yeux
Afin d’en deviner un troisième au milieu
Qui me dirait que tout va bien, que tout va mieux.
Poser soudain un baiser sur tes joues en feu

Et te répéter « Alexandra » à l’oreille
Pour que ne revienne en nos têtes le sommeil.
C’est ton corps tout entier qui bientôt se réveille :

Tu déplies les jambes et je m’approche de toi :
Je les caresse, fin duvet entre toi et moi.
Je reste discret, effacé, je n’appuie pas…


Angers, le dimanche 09 mai 2004.

Yves 49
J'espère que tu as l'autorisation de la jeune femme pour lui écrire ce genre de choses? Si non, je trouve cela un peu déplacé (avis personnel)

ISIS :
Mon inspiratrice a un esprit très ouvert... Elle accepte avec enthousiasme tous mes poèmes, même ceux que je n'ose "poster" ici...

Et bien voilà! Tu vois que tu peux répondre gentillement...
Aller encore un petit effort, tu y es presque...

"SONNET" A ALEXANDRA, alias LucyInTheSky :

(En écoutant le Concerto pour piano n° 2 de Serge Rachmaninov)


Dès mon enfance j’avais croisé ton regard
Emplissant de rêves étranges mon sommeil.
Tu n’étais pas née que déjà au loin ton phare
Guidait le marin perdu sur la mer vermeille,

Arrosée par les lueurs presque éteintes du Soleil.
Tes yeux ouvraient la nuit d’un éclat de diamant
Et la transformaient en un monde de merveilles,
Où buvaient assis ensemble Dieu et Satan.

Ton sourire m’accompagnait quand je me perdais
En dehors du chemin me menant à l’école.
Tu prenais ma main et tu me raccompagnais :

Je balbutiais « Alexandra », pas de réponse.
Ton cœur bat maintenant et trop vite s’envole,
Puis soudain dans un fleuve bouillonnant s’enfonce.


Angers, le mercredi 12 mai 2004.

Ouverture

Elle se retourne et marche vers l'avenir,
Tendre vierge aux cheveux sombres et pieds de cire.
Son destin piégé est bouleversé,
Son présent maintenant va changer.

Quelques pas sur la terre meurtrie
De la plaine sauvage et étendue,
La transporte et la libère,
Que de rêves déchus!

Ces âmes du passé l'entourent et la dévorent.
Elles n'attendent de sa part qu'une erreur
Faites et mortelles, de leurs mains lui tendent la mort.
Et oublient qu'un jour, peut être, elle aura tort.

Mais jamais, ô grand jamais elle n'acceptera
De n'être qu'une esclave au coeur chaud
Et au corps si froid, que jamais on ne la
Retienne prisonnière, dans les méandres d'ici bas.

Elle respire à présent, se dresse, sereine
Et si pleine de légèreté enfin retrouvée.
Elle dépose son ombre sur vos yeux effacés
Elle avance, poursuit son chemin, enfin apaisée.

Isis

J'adore ce que tu fais isis, décidemment! Continue! Tu devrait créer ton propre sujet,je t'assure!

ça je n'oserai jamais !!!

Pourquoi? Tu as vraiment du talent en tant que poète et tu devrais l'exploiter! Lance-toi! (enfin, tu fais comme tu veux...)

Isis, c'est vraiment magnifique, tout se pose bien, l'ambiance lourde et lattente se mêlant à la douloureuse introspection est vraiment parfaitement décrite.
Enfin, que faire sinon l'éloge de ce que tu fais ?
Bravo, continue, vraiment, c'est super.

"POEME" A CAMILLE (ce n'est pas celle de ce forum) :


- Acrostiche -
(en alexandrins)


C 'est avec joie que je découvre ton surnom
A ffiché sur mon écran qui vite me répond
M 'annonçant aussi vite ton très beau prénom.
I ndifférente à mes vers ? Je ne le sais pas…
L e calme d’une mer sans vagues et sans écume,
L es yeux pleins de couleurs et refusant l’effroi,
E gérie douce qui fait revivre ma plume…

L a comète passe, tes yeux la fixent dans le ciel,
A vec son long cortège de vœux ou de craintes.
B ien assise tu goûtes de la vie le miel
A tteignant ta gorge d’où ne sort aucune plainte.
S ilencieux puis soudain bientôt rempli de mots,
S on sourire s’illumine et devient plus beau,
E nivré des délices de défunts sanglots…


Angers, le jeudi 13 mai 2004.

Merci pour tous vos compliments, ils me touchent beaucoup

"POEME" A ALEXANDRA, alias LucyInTheSky :


Seules dans la nuit sereine les ailes d’un ange battent
Et produisent un léger vent qui agitent tes cheveux noirs.
Tes mains se posent sur mes bras qui combattent
Des démons aux visages sans teint et sans fard.

Nous ne sommes pas seuls : bientôt s’envole un refrain
Vers les nuages qui sans cesse s’écartent et se resserrent.
C’est ton nom, Alexandra, qui est porté par un chant plein d’entrain
Réveillant nos cœurs endormis, faits d’encens et de pierre.

Nos lèvres blanchies par le froid redeviennent roses
Et ton regard s’arrête incertain et serein, apaisé et tremblant
Sur la branche du vieux chêne où un oiseau se pose.
Pourquoi avions-nous marché la veille si longtemps ?

Nous recherchions les traces du trésor des Templiers,
Conscients que nous ne le trouverions jamais.
Assoiffés et meurtris nous suivions pourtant le sentier
Longeant les champs de blé, puis s’enfonçant dans la forêt.

Puis la nuit est venue s’allonger contre nos corps,
L’un contre l’autre nous avons regardé l’Etoile du Berger.
Ta poitrine battait très vite ; tu respirais très fort.
Qu’il était beau de notre vie ce premier été !

Nous avions fait le même rêve : celui d’un chevalier
Venu nous rencontrer en guenilles pour nous dire à l’oreille :
« Il n’est pas temps de dormir, vous êtes les premiers
A vous être tant aimés sans le savoir : fuyez le sommeil ! »

Réveillés maintenant, nous écoutons le chant de la nuit,
Apaisant la fatigue de notre folle journée,
A chercher ce qui jamais n’a brillé ni relui,
Un trésor qui dans nos cœurs seuls est caché…


Angers, le vendredi 14 mai 2004.

COURT "POEME" A CAMILLE, alias « MIMI29 » :


Croiser ton regard et ne pas parler
Ne pas troubler le silence sous le soleil radieux
Qui arrose aujourd’hui les fleurs éclatées
De mon jardin où viendraient vivre tes jeux.
Ton sourire resplendit de roses et de parfums
Et tes yeux s’éclairent au matin quand tu t’éveilles ;
Tes rêves s’éparpillent dans tes mains un à un
Bousculés par l’horrible sonnerie du réveil.
Je remercie le jour qui te vit naître
Et le ciel qui entoura tes premiers pas :
Ta vie est précieuse et c’est tout ton être
Qui se chante comme un air d’opéra.


Angers, le lundi 17 mai 2004.

La mort des anges


Il n’y avait rien dans le ciel de l’au-delà, que l’horrible présage qu’Il ne viendrait peut être pas.
Chacun offrait ses antiennes pour Sa venue, espérant naïvement qu’On l’aurait entendu, mais l’apparente vérité s’enflammait, au fur et à mesure que les chants s’éteignaient.
Il ne viendrait pas.
Mais on voulait croire malgré tout, rien n’aurait pu les résigner, pas même le hurlement d’un loup, ni l’enfer d’une âme brûlée.
Alors les ailes se déployèrent, changeant le ton de l’atmosphère. Les chœurs se firent plus haut entendre, brisant les eaux, les obligeant à se fendre. Chacun tirait du plus profond de lui, la plus ancienne et douce mélodie et l’univers tout entier retenait sa respiration en cette ultime communion.
Mais Il n’arrivait pas.
Aucun des anges ici présent n’avait osé penser qu’Il aurait pu les abandonner. Alors tous continuaient leur rituel, le plus doux mais impérieux des appels, chacun voulait voir s’en venir, La Lumière de leur ultime soupir, le Dernier Jugement de ces anges qui avaient été si patients. Archanges, séraphins et chérubins, tous avaient toujours œuvré pour Son bien, et aujourd’hui à l’heure de la relève, Dieu n’imposerait pas Sa trêve.
Ils étaient tous anéantis, et les larmes des anges coulaient, chacun craignait le pis, la noirceur qui les envahirait.
Ils avaient gardé le ciel longtemps en Son absence, Lui avait désiré s’éloigner de leur danse. Le jour était arrivé où Il devait revenir, sans quoi chacun d’eux pouvait craindre le pire, mais Il n’était pas là et déjà sentaient ils se briser la pureté de leurs voix.
Ils étaient abandonnés, âmes angéliques d’un Dictateur sadique, ils avaient été laissés là par Celui qui se disait leur Roi.
Ainsi virent ils la lumière s’éteindre, l’aura de leur Seigneur disparaître, et de noir leurs ailes se teindre, les emmenant au service d’un traître.
Qui aurait cru que l’armée des ombres puisse ainsi être créée, par Celui qui disait maîtriser toute destinée ? Qui aurait pensé que des ténèbres les premiers enfants étaient ceux qui veillaient jadis sur le firmament ?
Un jour pourtant Il revint, mais Son domaine entier s’était éteint. Il pleura longtemps Son erreur, Lui qui se disait entité de cœur. Pourtant les larmes n’avaient pas leur place, l’armée des ombres, ses anciens enfants, l’écarlate de leurs yeux tranchant leur terrible noirceur, s’en venait vaillamment, venger de leur mieux la décadence de leur ancien Seigneur.
Ainsi prit fin l’avènement de la lumière, enfermé dans une geôle des enfers, le cœur de l’homme se meurt, son arrogance créant mille ans de terreur.

Zarno
Mercredi 19 mai 2004, Bretagne

Ouuuuuuuuuuuuuuuuuuuiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

merci.............

Tout le plaisir est pour moi Isis

franchement, est-ce que je peux vous demander de quel thème je dois parler pour mon tout 1er poème en public SVP ? Parce que là, je sèche dans les idées !!

Bon voilà,
je vous ai écrit un quatrin que j'ai écrit en 5ème (qui m'a valu ma renommée dans la classe [et surtout grâce à ma prof de Français]) qui était à la base 3 quatrins d'un poème célèbre, mais l'auteur ne me revient plus.

Pensées infinies, les cauchemars sans rivages,
Rêves interminables du haut des horizons.
Du peuple dense, jusqu'aux forêts sauvages,
L'enfant vivant rêva jusqu'aux derniers bisons.

Les mots en gras sont les mots qui sont sur le poème "d'inspiration".

Et bien cela dépend, il peut faire une lecture publique d'un de ses propres textes, ce qui semble être le cas ici, mais parfois (et souvent) les lectures publiques sont fais par des gens qui ont l'habitude de lire des poèmes

Pour ce qui est de ton poème Myabdelis, il est plutôt bien construit pour ce qui est de la forme, mais en ce qui concerne le fond, c'est bourré de clichés et de facilité (horizon, bisons ). Essaye de chercher au plus profond de toi, prend tes propres images et non celles qui te semblent poétiques

"SONNET" A CAMILLE, alias « MIMI29 » :


C’est cette petite musique dans la nuit
Qui éveille peu à peu chacun de mes sens :
Elle résonne, s’approche et les regrets s’enfuient.
On dirait qu’elle sait qui m’émeut, à qui je pense.

A ton âge, il avait écrit un opéra,
Mozart traversera l’Europe avec son père
Et son œuvre pour tous les hommes demeurera.
On pourra toujours cueillir une rose en enfer :

Les notes se suivent au rythme d’un cœur qui bat,
Et je sais que dans l’obscurité mes yeux brillent.
Ils se fixent sur les tiens qu’ils ne connaissent pas.

La Messe du Couronnement éclate enfin :
C’est un hymne à la vie et un chant pour Camille,
Elle qui dort, bel ange ayant chassé le Malin.


Angers, le vendredi 21 mai 2004.

"POEME" A ALEXANDRA, alias LucyInTheSky :


Il fait nuit et les oiseaux chantent déjà.
Ils sont en avance et moi aussi au réveil de ton nom
Dans un rêve ancien qui me revient tout bas :
Les images les plus belles se font et se défont.

Tu te dis « baleine », et je ne suis pas pêcheur
Tu nages comme une sirène et ton chant s’étouffe
Quand tu plonges dans ma vie et mon bonheur.
Sans même te connaître je n’ai pas eu le temps de dire « ouf ! »

Que déjà tes grands yeux noirs envahissent mon écran.
Ta main doit être fraîche et douce et je l’embrasse
De baisers virtuels pleins d’attention et d’élan.
Ton sourire se reflète dans le miroir qui se casse :

Il m’échappe des mains car je suis trop ému
De retrouver les odeurs qu’en secret j’imaginais.
Ta poitrine se soulève et tu ne respires plus :
On dirait que ton regard ne se refermera jamais.

Tes jambes ne semblent plus te porter :
Tu es devenue légère comme l’air.
Je te soulève, les muscles tendus et pliés :
Tu éclates de rire tout en me laissant faire.

Je sens tout ton corps se contracter,
Tes cheveux tombent sur mon visage.
Tu redescends et, réjouie, tu m’embrasses le nez.
Mon rêve sera-t’il englouti par l’Océan des âges ?


Angers, le vendredi 21 mai 2004.

"LEGITIME"


Légitime et pourtant chaque matin l'alarme
Du réveil sonne au plaisir volé d'embrasser
Ta joue fraîche dont j'oublie d'essuyer les larmes
Jamais sèches quand la veille tu as pleuré

De mes mots, de mes excès, de ces amourettes
Qui ne furent que de l'eau dans un vent trop brûlant.
Elles tombent sur la neige de ta peau, en miettes,
Et bien vite au soleil elles fondent avec le temps.

Ta demeure est dans mon cœur au soir tombant
Quand l'alcool du désir ne fend plus ma tête
Et que l'eau d'un baiser se dissout dans mon sang.
Comme au matin et au lendemain d'une fête,

Je t'aime.

Je succombe parfois à d'autres charmes...
Ce ne sont que ceux que mes mains ont recherchés
Dans le noir quand contre moi je n'avais d'autre arme
Que la peur de désirs plus forts et délabrés.


Caylus-en-Rouergue (Tarn-et-Garonne),
le 20 août 1985.

Plaintes d'oute tombe



Ô toi qui m'as fais souffrir ! Cruelle meurtrière
Je te hais dans l'adoration et t'adore dans la haine
Douleur encore inconnue pourtant si familière,
Je ne sais ou je vais pour y fuir ma peine.

Sans que tu le dises mais nous le savions
Mon âme est exile ou personne n'ose aller
Banni a jamais par ce regard meurtrier.
Crois tu être déesse ou bien seulement démon,

Pour enlever sans trembler a un homme sa raison.
Mon âme envolée, mon corps abandonné
J'attends sans gémir qu'elle vienne me chercher,

Celle qui de toi me délivrera
Et qui pour m'envoler me donnera des ailes,
Cette mort, que tu as rendue si belle.

C'est vraiment très très beau! J'adore!En as-tu des autres?

Regrets

Autrefois les larmes m'endormaient, comme tant de douceurs allégeant l'agonie, aujourd'hui je ne pleure plus, et seul me retourne dans mon lit.
Entre celle d'indifférence, celle qui doute et celle qui pleure, aucune ne sait la chance qu'est d’être ma douleur. Ces refrains sans fin que depuis longtemps je fredonne ne sont que l'horreur du chagrin qui me prend chaque automne, mais à l'aube du solstice si merveilleux, ce qui m'attend n'est que le supplice d'un malheureux.
Tout s'enchaîne chaque nuit, me rappelle, me meurtris, les souvenirs des erreurs d'hier, parfois refoulées ou mille fois pardonnées, ne peuvent s'expier de prières. Les cris, les heurts les reproches, pas toujours justifiés, se gravent dans mon coeur comme ils briseraient la roche. Aussi je me dis parfois entre deux rêves, que de la vie je devrais faire la grève, et qu'ainsi seulement je trouverais le moyen, d'assouvir de certaines la faim.
Pourquoi ainsi me dénigrer après tant d'heures exquises mais passées ? Aurais je ouvert ce coffre, symbole de ton nom, pour qu'aujourd'hui ce qu'on m'offre, soit de renier notre union ? Et toi combien d'excuses devrais je te faire pour te convaincre d'abandonner cette futile guerre ? Où as tu appris à parler ainsi ? C’est de même que m'ont laissé toutes ces amies...
Je n'ai plus la force de me justifier, les heures sombres se tassent et le soleil s'égraine, de la vie je me lasse et des instants de haine.
Oserais je un jour dévoiler ce terrible secret, celui faisant et défaisant les murs de peurs et d’incompréhension ? Pourrais je crier ce terrible méfait, celui qui ouvre mon cœur à tant d’émotions ? Je ne le ferai et vivrai à jamais dans les ombres de mes regrets, l’amertume nouant mon ventre, comme un cœur souillé d’amour, mes espoirs plongeant dans l’antre, pour ne plus revoir le jour.
Que les dieux se lovent en moi m’accueillant en leur sein, l’idiome sacré trouvant mon âme la descellera de son écrin, car ainsi si l’on m’accepte deviendrais-je leur égal, et peut être de leurs préceptes comprendrais-je mon mal.

Zarno

Merci Zarno... c'est très beau

Je viens du ciel

Je viens du ciel, galaxie pleine d’étoiles
Mon domaine est un astre luisant
Encore méconnu des savants
Je côtoie les immortels
Les âmes perdues, les hirondelles
Je respire le mystère de l’éther
Je souffle le vent qui fertilise vos terres
De là haut, je vous regarde
Mes yeux ne vous jugent pas
Ils vous explorent et vous transpercent
Et condamnent à jamais le néant
N’ayez pas peur de ma présence
Vous ne me verrez pas
J’ai dans mon cœur la décence
De suivre en silence vos pas
J’ai dans mes mains la légèreté d’une caresse
Je les poserai sur vous
Que vous ne les sentiriez pas
Remarquez parfois un frisson vous parcourir…
Et bien c’est moi, oui je suis là
Près de vous, toutes les nuits, et tout le jour
Je guide votre aura
N’ayez plus peur de pleurer
Je suis la pour sécher vos larmes
Baissez la garde, baissez les armes
Et écoutez le murmure de ma voix trembler
Se mêler à vos silences, à vos pensées
Je suis les battements de votre cœur
Osmose de la vie, je freine vos peurs
Je calme vos envies, j’apaise vos douleurs
Je suis un rayon de joies et de couleurs
Je suis le rire, l’amour, et la candeur
Et si un jour l’envie vous vient de me connaître
Sachez me trouver près de vous, me faire apparaître
Trouvez les mots juste pour quelques heures
Mon devenir deviendra votre bonheur
Car sachez le, et tenez le vous pour dit
Je suis en vous, je suis la vie.

Isis

wwwwwwwowwwwwwww ! bravo Isis !
Tu as un réel talent de poêtesse !

Oui pour sur Isis est pleine de talent. pour un peu on fermerait les yeux pour vivre à fond son texte, mais en fermant les yeux, on ne peut pas lire. En fait, il faudrait l'entendre lu par elle. Oui ce texte est magnifique, d'une profondeur toujours perçante comme d'habitude chez Isis. J'adore.

Dans une moindre mesure, il me rappelle un des miens, bien qu'il soit à des années lumières en dessous du sien :

Métamorphose Démiurge

Donne-moi quelque chose de grand, de magique, de grandiose, sans aucune commune mesure. Donne-moi une épopée, une aventure, une émotion formidable et fantastique.

Donne-moi l'émerveillement et le frisson la peur et le bonheur, donne-moi l'intensité de l'étonnement et la maîtrise du temps.
Je veux être macro dans le micro et micro dans le macro, mais je veux être en harmonie dans l'infiniment grand comme dans l'infiniment petit.
Je veux la transcendance, la gloire et la chance, je veux être nul part et partout, un lézard ou bien un loup, Je veux être créateur et destructeur, le roi et le paysan, l'Américain et le Taliban, je veux être molécule et particule, je suis dans l'amour et dans la haine, dans l'extase et dans la peine donne-moi les armes et les larmes, le tourment du firmament, donne-moi la force de l'écorce, La liberté et l'aliénation, le mausolée des constellations, l'unicité de la volupté des passions de la déraison.
Je rêve d'une entité supérieure qui régirait nos coeurs, d'un être inconnu connaissant toutes les vertus, je veux être celui qui pense, qui chante la joie et qui la danse. Je suis le maître des cérémonies du chemin de la vie, celui qui joue atout coeur dans les ombres et pour la peur, je suis et je resterais régent de l'être et du paraître.
Oublie ce que tu as appris et regarde au fond de la nuit, et trouve l'ultime vérité dans l'abîme des âmes damnées : douce et belle mélodie que celle du chemin de la vie...


Zarno

wwwwwwwowwwwwwww ! aussi !

Zarno a écrit :
Je veux être macro dans le micro et micro dans le macro
mdr ! ça sent l'informaticien lol, en tout cas il est bien il change de registre par rapport aux autres poêmes que tu écris (les autres sont plus noirs (mais très bien aussi )lol).

Oui, celui là est moins noir, parce que ma cartouche d'encre noire était vide !

(ok je suis pas drôle... hem )

En fait celui là date d'il y a quelques années, quand j'ai vu pour la première fois la bande annonce du Seigneur des Anneaux à la télé, ça m'a fait hurler de bonheur lol et j'ai écris ça en 5 minutes lol

Sentiments fanés


Au matin de sa vie la rose bourgeonne et grandit,
Ainsi l’amour agit et doucement s’installe,
Comme une naissance la rose prend vie
Et sans même un bruit l’amour devient fatal

La rose est éclose mais son avenir n’est plus rose,
Le temps a déjà commence son cycle meurtrier.
L’amour quant a lui est a son apogée
Et le bonheur lui semble en tout point associé.

La fleur pourrie et lentement se décompose.
De même que l’amour brisé présente des fêlures,
Les pétales tombent et perdent leur état pur.

L’amour n’est plus, ainsi en vont les choses,
Mais comme un phoenix revit, une rose renaît
Tandis que l’amour inachevé le restera a jamais.

Isis, Zarno, black dragon...vous êtes vraiment doués, vous 3. J'adore ce que vous faites, sincèrement!C'est magnifique, continuez à créer!

A jamais

A jamais je me confonds, je suis ton ombre
Trop perdue dans nos tourments si sombres
Tendrement malgré tout je prends le temps
Oh jamais je ne perdrai ton sillage
Et pour une fois je te rends hommage
Secondes de partage, tu es mon printemps

Isis

Trouverez vous l'astuce?

L'intéressé trouvera peut être...

à Attoes? ça veut dire quelque chose?loool en tout cas ton poème eest magnifique

Mon coeur est en fête
Lorsque je te vois
Ton nom dans ma tête
Il ne s'effacera pas

Mais pourquoi résister
A tes baisers sucrés
Je n'ai pas besoin d'un poéme
Pour te dire que je t'aime !

Mon niveau est beaucoup plus bas que zarno,isis,black dragon ! mais bon tout a un début !

Continuez donc bien a tout poetiser
Mais n'allez pas trop loin, jamais n'en rigolez !
Car les rimes sont pures et les poetes frustrés
De n'avoir j'en suis sur, pu Isis rencontrer

très beau

isis a écrit : Rêver

Je me laisserai bien bercer ce soir
Dans les sillages de mon ange déchu
Laisser moi encore flotter
Et aider cette âme mise à nu...

Partager avec lui
Tous mes espoirs venus
Une nuit, dans la pénombre de mon coeur
Dans les tremblements de mon corps
Dans les sursauts de mes étincelles
Juste quelques secondes perdues
Le libérer de ses ailes

Je le suivrai alors
Fidèle, dans un dernier effort,
Nous gravirons les monts et les rivières,
De nos vies, de nos prières,
Trouverons réponse à nos doutes
Ensemble trouverons la route.

Celle qui mène à la rédemption,
La route, de l'amour et du pardon,
Le chemin de l'éveil, et de la passion,
Celui qui ne s'ouvre qu'aux merveilles,
Et aux douces émotions...

Isis
Ah mon dieu Isis je vais pleurer C'est trop beau trop émouvant !! La prochaine fois que je viens dans cette section je prend une boite de mouchoirs !!!

Pourtant il n'est pas triste ce poème...au contraire...

Y'a une impression de légèreté qui se dégage de ton poême ! très beau, félicitations !

tu me fait planer Isis lol

isis a écrit : Pourtant il n'est pas triste ce poème...au contraire...
Euh tu trouves qu'il n'est pas triste ? Moi je trouve tellement "léger" qu'il m'émerveille et me fait presque pleurer

yepido a écrit :
tu me fait planer Isis lol
Et quand Yépido se transforme en oiseau...ça doit être beau...

Rédemption

Alors que le moment venu fut tant de fois rêvé hier, la peur me motiverait au retour en arrière. Alors que d’autres versent leur sang espérant mon avènement, le doute les trahis car mon cœur est meurtris. Le courage d’affronter la vie me fait défaut, me préférant l’âme transie rêver de la faux. J’ai peur du trop de liberté qu’on m’offre, et l’importance du choix me pèse, comme si de Pandore j’avais ouvert le coffre, me condamnant à cette insipide ascèse…

J’ai crié tous leurs noms comme celui de ma soumission, mais à nouveau ineffable, j’ai ternis mon image avec celle de mes fables. Ainsi de ces auras là aussi ai-je pris la direction, comme pris dans un rôle qui n’était pas le mien, pour toutes malgré moi imposerais je mes conviction, pour au dernier moment leur lâcher la main.
Pourquoi ces derniers crimes avant d’abattre le mien ? Qu’ai-je à prouver pour mener mon chemin ? Je brûle de leurs âmes atterrées, prêtes à sentir mon corps, d’un mot je peux les condamner et briser à jamais de si doux trésors. Je m’approprie sans conteste ces vies fragiles pour ensuite me montrer des démons le plus vil. Non je ne suis pas le messie attendu sur Terre, mais un diable, un de plus, pour le nom de l’enfer.

Et ainsi j’écoule les heures sentant le sol s’ouvrir sous mes pas, et si ces milles ans de terreur devaient être mon trépas, je n’aurais pour seul mérite d’accepter ma rédemption, pour mes soeurs cette ultime communion. Je sens mes ailes se consumer chaque instant et mon coeur, émietté, se repend.
Dans ma crasseuse et souillée délicatesse je murmure le nom des déesses, qu’elles viennent en mon aide et lavent ma lumineuse ignominie, les cordes déjà sont raides, pour le départ du fils impie. Mon âme à peine trempée déjà me demande t’on d’être forgé, je me suis arrêté en chemin, cherchant les solutions, mais la peur du demain altère ma communion. On me pousse en avant pour que je quitte le nid, mais le dehors et ses vents sont mon effroi infini. Je n’ose prendre les décisions de peur de me tromper, mais dans cette sombre maison je ne puis plus rester. Aller loin, et peut être ne pas revenir, ce qu’aujourd’hui je dois parvenir, c’est trouver la clé de mon destin, mon guide sur le chemin.
Quand l’amour n’est plus un rêve, mais un gâchis sans nom, où toute passion semble mièvre, et le mépris des émotions, quand le coeur ne bats plus pour aimer, mais s’étrangle de folie, où l’essor est inespéré et l’espoir un délit, alors peut être vaut il mieux s’arrêter et contempler sa défaite, pour un instant de piété avant l’ultime conquête…

Zarno

"fichtre!!! Nom d'un grumpble!!!!" lol



J’ai crié tous leurs noms comme celui de ma soumission, mais à nouveau ineffable, j’ai ternis mon image avec celle de mes fables. Ainsi de ces auras là aussi ai-je pris la direction, comme pris dans un rôle qui n’était pas le mien Qu’ai-je à prouver pour mener mon chemin ? Je brûle de leurs âmes atterrées, Je m’approprie sans conteste ces vies fragiles pour ensuite me montrer des démons le plus vil. Non je ne suis pas le messie attendu sur Terre, mais un diable, un de plus, pour le nom de l’enfer.




Quel plaisir de lire entre les lignes...

Je ne suis pas diabolique, mais l'on me prête les pouvoirs d'un démiurge et une telle responsabilité me fait peur. Les possibilités sont dangereusement renversante et je me sens parfois comme un gosse qui aurait trouvé le flingue de son père... l'objet est précieux et la moindre erreur peut être fatale...

Mais je sais aussi parfois être doux...

Songe d’une nuit d’amour

Quand la nuit s’enflamme pour ma princesse assoupie, quand ton regard s’efface juste l’instant d’une nuit, quand les étoiles éclairent ton âme endormie, je m’émerveille de ton coeur épanouis, je sens monter en moi le bonheur de l’amour, l’extase infinie de ton corps contre le mien. Scrutant bienheureux les alentours, j’élimine les ombres croisant notre destin.
La cadence de ta respiration, telle une envoûtante mélodie, de pair avec la mienne, pour une parfaite harmonie, me laisse entrevoir en l’écoutant, les promesses de notre temps, juste un monde pour nous deux, isolés de tout ce qui fait mal, milles instants merveilleux et la promesse d’un idéal.
J’ai lu dans tes lèvres l’amour parfait et sans trêve, j’ai vu dans tes yeux le réel sens de « nous deux », j’ai caressé ta peau comme l’on regarde un oiseau, frémissant de sa beauté, oubliant la réalité. Mon esprit par tes délices charmé, oublieux de toute chasteté, s’embrase de notre passion immortelle, s’offre à toi d’une délectation éternelle, pour qu’à jamais brûle la flamme de notre amour, s’approchant de la félicité avec ses plus beaux atours.
Mon coeur et mon âme t’appartiennent, toi des anges la plus belle antienne ; le chant sacré de ta beauté redonnant espoirs aux condamnés, bouleversant l’ordre du monde, l’équilibre des temps, ta perfection inégalée semblant venir d’autres univers, ou des rêves d’un revenant.
Rêvant notre amour comme chaque nuit, je l’imagine ainsi qu’il sera, pour toi ma belle endormie, ainsi blottie entre mes bras.

Zarno

Oui je vois ça....

Quelle chance a cette belle d'être regardée Quel beau rêve où les mots s'entremèlent, les corps et les peaux se touchent...Beaux verbes déïfiant l'aimée...
Belle inconscience de l'amour...

zarno c'est incroyable! j'ai ressenti le poème c'était comme si j'y étais...
d'après moi tu es un vrai de vrai poète
j'adore tes poèmes.

Ce garçon là

Il ne parlait pas
Il ne s'amusait pas
Envers lui il était froid

Mes amis , je ne le comprennais pas
pourquoi , recroquevillé il restait là ?
Quels sont ces sentiments ?
Ce sentait-il bien ? Mal ?

Désfois parler de lui me fait mal
Quand il voulait dire quelque chose
Ses mot s'écrasaient dans sa gorge tristement
Alors je le voyaient partir comme un délaissé

Ce garcon avait l'air de ne pas vouloir vivre
qu'avait-il commes intentions ? En arretant de me poser des questions
Paisiblement je m'endormis dans le fond de mon lit
Ce n'est que le lendemain que j'ai appris , surpris
que ce petit garçon était un esclave , qu'il s'était enfui

Loin de cette "famille" de malheurs qui ne le comblait d'aucun bonheur
Maintenant quand je pense a lui je me dit
que la ou il est il est bien mieux
car maintenant ce petit garçon meurtris est au paradis

Et bien...............................chapeau bas

Merci beaucoup Isis

Je le pense sincèrement

Ouai mais il y a des moments ca rime pas trop lol

Tout dépend de ce que tu recherches: que l'on s'interrese au fond (à ce que tu dis, le message que tu veux faire passer) ou à la forme.
Si tu veux que l'on porte un intérêt particulier à la forme alors oui effectivement il manque des rimes lol
Pour ce qui est du fond, personnellement c'est ce qui me touche le plus dans un poème...et le tien me parle à ce niveau là...

Les plus grands poètes n'ont pas attendu la poésie moderne pour se débarrasser des rimes...

Ouaip , Ce que je voulais vraiment c'est que les gens ressentent ce que j'ai ressenti quand j'ai écris ce poéme...

Bravo tout le monde... vous faites des choses magnifiques ! Vraiment je le pense... bon beh moi je vais vous mettre un de mes poèmes... ce qui me tue : c'est que je me suis fait un sky et tout le monde me pique mes poèmes SANS ME CITER ou en disant que c'est les leurs... c'est dégueulasse ! Ca s'appelle du vol d'oeuvre... m'enfin... il y a des c@@@ partout après tout...
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Délivrance

Ca y est
Je l'ai fait
Tout est fini
Je suis en train de perdre la vie

Je vois ce sang qui coule
Sur mon bras et sur mon pull
Je n'ai rien sentis
J'ai simplement glisser la lame
J'ai juste eu une larme

Je vois défiler ma vie
Comme on nous l'avait dit
Mes images sont remplis de pleure
Et où il reigne le malheur

Je m'évanouis
Et je vis
Cette lumière éclatante
Qui m'éblouis un instant

D'un seul coup
Je vis les personnes qui était dans mon coeur
Et qui représentait un tout
Et là j'ai ressentis un incroyable bonheur

Je m'avancais vers eux
Je tendais les bras
Ils étaient tous heureux
Et me disait "tu verras, on est mieux là-bas"

Voilà c'est comme ca que je vois la mort
Peut-être ai-je tord?
Mais je souhaite la voir ainsi
Comme ci s'était un paradis

La mort est une délivrance
La vie souvent une souffrance
Laquelle choisir?
Seule moi peux me permettre de me l'offrir

Avez-vous déjà réfléchis
A une autre vie
Celle après notre mort?
Celle qui nous délivre mais vous pensez que j'ai tord

Puis-je encore rever?
A un bonheur étranger

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Pouvez vous me donner votre avis ? je vous en serais très reconnaissante...

Bon beh... je vais continuer toute seule... j'ai que ça à faire... !

J'ai besoin de toi

J'ai besoin de ta main pour y mettre la mienne,
j'ai besoin de ton coeur pour y cacher ma peine
j'ai besoin de tes bras pour consoler mes larmes
et besoin de ta force pour y forger mes armes.


J'ai besoin de tes doigts pour mettre sur ma peau,
la chaleur d'un volcan, la fraîcheur d'un ruisseau,
j'ai besoin de tes mains pour habiller mon corps,
de vagues de soleil, de gouttelettes d'or.


J'ai besoin de ta bouche qui pose sur mes lèves,
la douceur d'un baiser ou le feu d'une fièvre,
j'ai besoin de ton coeur cognant ma poitrine,
une chanson d'amour en duo et sourdine.


J'ai besoin de tes yeux plongeant dans l'océan,
de craintes cachées, de mes sombres tourments,
et balayer soudain dans un train de lumière,
tout ce qui me fait peur et me désespère.


J'ai besoin de ta vie pour vivre absolument,
au temps du bonheur et au rythme du temps,
il n'y a qu'avec toi que je connais des joies,
c'est tout, tu vois...moi, j'ai besoin de toi.

Je viens de le découvrir celui là...
Très beau vraiment, bien construit, très respectueux...
merci

Magnifique ! je n'avais que ca a dire continue comme ca !

C'est magnifique !!

ooooooooh Marci tout le monde... ca me touche... MERCIIIIIIIIIIII

Lol c'est normal !

Angie, y'a des droits d'auteurs sur tes poèmes, parce que sinon moi je me vois bien les reprendre pour les dire à ma chérie .. en temps utile !

te gènes pas si tu le désire ! prend le je t'en fais cadeaux

merci, mais de toute manière je préciserai que je n'en suis pas l'auteur !!

c'est gentil ! Merci à toi !

Angie1234 : Tu as quel age ? Sans indiscrétion
En tout cas tes poèmes sont très beaux (y) !!


« Reflet »

Je vis mon reflet dans les vitres,
Et une autre personne me traversa,
J’ouvris brutalement la fenêtre pour oublier.
Mais rien à faire, quelqu’un en moi, m’emprisonna.

Me plongeant dans l’obscurité profonde
N’ayant plus aucune notion du temps,
Soudain, je me perdis à ma merci,
Dans mes pensées obscurcies.

Je perdis contrôle de moi-même,
Et m’évanoui..Je ne me sentis plus la même..
Un esprit sortit de mon corps blafard ,
Me contempla telle une chose ignorante et partie au loin.

Ô toi , mon âme si livide ,
Ne t’arrête donc pas sur ton chemin
Et n’oublie pas de prendre mon avenir perdu entre tes mains,
Puisque les miennes deviennent peu à peu putrides..

N’as-tu pas honte de me laisser seule , étendue sur le sol humide ?

J'attends vos avis avec impatience..

une rubrique poème,trop cool

oh maman

maman,si tu n’étais pas parti
en me laissant seul cettte nuit
alors que peut-ètre j’aurais grandi
ailleurs que dans la rue,sans amis

mon enfance dans les foyers
à entendre les autres pleurer
mon acharnement à essayer
de toujours te retrouver

mes premières bétises de la vie
et les premiers regards de mépris
m’ont toujours suivi
fidèles à ce monde gris

sans cesse,je te poursuis
et jamais tu me souris
je ne demande qu’un geste
et personne le fais pour que je reste

l’age adulte et ses complications
tant de promesses et de protestations
ont barré la route des félicitations
alors que moi je redoutais « la maison « 

et ce jour noir de ma vie
où j’ai vu écris
sur cette pierre tombale
ton visage en lettres capitales

je suis tombée à genou
et j’ai regardé »malgré tout »
cette mère que je n’ai jamais connu
eet que vivante,je n’aurais vu

une épitaphe en ton centre
a été gravé pour « la merveileuse femme que tu as été »
merveilleuse,peut-ètre,mais dans quel sens
as-tu été merveilleuse le jour où tu m’as laissé?

je cherchais ma mère
et je la trouve
couché dans cette tombe
avec pour seule couverture
de la terre

aurais-je fais ce trajet pour rien?
peut-ètre mais qui sait
maintenant je connais
la raison de ma course

artaban

LaRmoYante a écrit : Angie1234 : Tu as quel age ? Sans indiscrétion
En tout cas tes poèmes sont très beaux (y) !!
Bientot 15 ans
suis tout petite lol ! Merci en tout cas ! J'aime bcp aussi ton poème

Peter Pan

J'ai rêvé de ce garçon
qui ne voulait pas grandir
qui refusait de fuir
c'était bien ce nom

J'imagine que vous avez compris
le nom de celui qui m'éffleure l'esprit
il m'a fait passer la plus belle de toutes mes nuits
Quant à mon reveille j'était ravie

Ravie mais aussi émerveillée
de cette nuit édulcorée
restera dans ma mémoire inoubliée
car cette nuit la je me suis sentie emportée

Pourquoi m'as tu tout pris
Toi qui es si petit
Toi qui tiens sur un cadran
Et qui fais tourner mon sang
Pourquoi tout t'es soumis
Mon corps mon ame et meme mon sourrire
Tu es si bien organisé
Que des que nous pointons le bout de notre nez
Tu es la
Et le decompte s'amorce
(Je parle du temps pour ceux qui aurai pas compri)

Artaban :
J'ai été très sensible à ton poème. Le ton est certes direct mais le contenu est sincère et délicat...

Bon voila ca m'as pris je viens de me lever( reveiller) et j'aver de l'inspiration ..bon si certains d'entre vous ca^plait pas tent pis !! bon c'est mon premier poeme alors bon :
Elle va naïtre ce soir ;
Dans son habits tous de noir ,
Elle ne px voir ,
Nous créatures si sage ,
Nous qui somme enfermé dans nos cages,
Elle si libre;qui a si peur ,
Elle attend son heure ,Pour rejoindre Satan ,
Notre maïtre vénéré ! voili voilou

Lui si "noir"
Il va rejoindre "Dieu"
Au paradis , dans les cieux ,
Il passera en enfer,
Lui il va le couté cher ,
Pour tous ses péchés!
Il attend sa mort avec impatiente ,
Il attend de nous rejoindre ,nous, si sombre ! dsl c'est pas au point mais au moins pour une fois dans ma tite vie pas interessante j'ai fait quelques chose qui me plaisait !!

J'aime bien moi !

Bon c'est vrai que certains vers bah .....enfin voilà quoi !

Mais j'aime bien quand meme

Je peux faire une critique sans te vexer ? (j'ai des choses à dire mais pas que positives)

Eau si sournoise..

Je lève ma tête curieusement vers le ciel,
Une petite perle d'eau m'égoutte le nez,
Ayant alors , à cet instant , retrouvée mon enfance si belle.;
Je ris , rougis et palît comme si je revenais soudain à la réalité.

Je fermai brutalement la fenêtre et me trouvai coupé du monde..
Ces larmes de dieux qui tombaient à flots..et moi là , immonde ;
Ces sanglots temporaires dont je ne connaissais pas la raison de leurs trajets..
Et moi , comme ça , indifférente à leurs plaies ..Je restais figée derrière mes pensées.

Et les gouttes d'eau si singulières devinrent comme des couteaux..
Elle tranchaient l'air et brisaient le ciel ..
Certains pensent que ce n'est que de la triste eau..
Pourquoi pas ..ces perles remplies de mélancolie me donnent l'impression d'être un ange privée de ses ailes..

Ca c'est mon impression , seulement la mienne , et seule moi , puisse la comprendre ..
Petites perles insouciantes remplie de tristesse et de grâce.. Je n'ai qu'une phrase a vous dire : Continuez de crier dans ce silence , n'oublier pas que moi je vous entends..

Svp, pourriez vous laisser vos avis qu'ils soient positifs ou négatifs sur mon/mes pooèmes , car j'aime beaucoup ce monde , et j'aimerais savoir si sa vaut vraiment la peine de continuer.. merci de tout coeur :y

dark_crystall a écrit : Je peux faire une critique sans te vexer ? (j'ai des choses à dire mais pas que positives)vazy critik ...j'ai tellement l'habitude !

Bravo pour tes poêmes LaRmoYante, moi qui n'aime pas trop les poésie eh bien j'aime bien les tiens et surtout à ton age,moi qui ai un an de moin que toi je hais en créé et il n'y a personne dans ma classe qui aime ça!
Bravooooooo!!

un autres que j'ai fait ( en cours de maths lol jdec' ):
Ce soir elle va réaparaitre;
CE soir , la nuit de tes cauchemars
Ce soir , très tard
Elle va paraitre

Dans ta chambre noir,
Elle est le diable de ta vie,
Elle viendra boire ,
Le sang qui coule sur ton lit !

Elle est la mort en personne ;
Elle est très bonne ,
Pour vous prendre la vie,
Elle qui t'envie .....

ouai mais pourquoi tu ne parle que de la mort...c'est pas très joyeux...
mais bon....

C'est simple zimcri ..la mort c'est jolie ainsi que les chose malefik et sombre ^^ !!!!

Zaza,t ai obligée de toujours faire des poêmes sur la mort ou le noir!!lol c'est vrai quoi y a pas besoin de toujours penser a ça

Il y en a bien qui ne parlent que d'amour dans leur poésie...alors moi je dis pourquoi pas...si ça lui convient comme matière d'inspiration...

non je suis pas obligée mais j'en ai envie !!! la mort le sombre tous sa

isis a écrit : Il y en a bien qui ne parlent que d'amour dans leur poésie...alors moi je dis pourquoi pas...si ça lui convient comme matière d'inspiration...oui c'est tte mon inspiration !

arrête,la mort ce n'est pas jolie!!
comment peux tu dire sa?

la mort pas jolie ?????tu te fou de moi ... pour moi la mort est très magnifik ..

irod a écrit : Bravo pour tes poêmes LaRmoYante, moi qui n'aime pas trop les poésie eh bien j'aime bien les tiens et surtout à ton age,moi qui ai un an de moin que toi je hais en créé et il n'y a personne dans ma classe qui aime ça!
Bravooooooo!!lol tu peux m'appeler Eva Je te remercie énormément..Je prends beaucoup de plaisir à en faire , alors en plus s'ils plaisent aux autres , j'en suis ravie.. Oui 13ans ( bientot) c'est le commencement de l'adolescence , tristesse , mélancolie et compagnie .. Tu as quel age ? lol
S'tu veux , on peut faire connaissance , ca me ferai plisir Bizz à toi.

Chère Zaza , ton poème est un peu confus , et il y'a une répétition mais bref , ce n'est pas le plus important , je pense que tu 'te 'force' un peu a le faire , détent toi , ca vient tout seul , ne te dis , bon " zaza" un poème maintenant..Enfin bonne chance à toi pour la suite

Ben non pas du tout...Pour moi la mort c'est pas jolie du tout,c'est sombre,triste...
Et moi c'est pas mon truc.Je préfère la joie le soleil....enfin chacun ses gouts bien sur!!!

Non du tout je ne me dis pas bon zaza un poeme mtn ...ca me plait tellement d'ecrire des poemes .....puis j'ai de l'inspiration en ce moment alors j'en profite pask dabitude je n'ai jamais d'inspiration .... oui bon ceci son mes trois premiers poeme donc il ne sont pas au top ! ( zimcri la montagneuuuuuh lala lala )

AH ce sont tes 1er poèmes , ahh oki Zimcri : J'étais comme ça avant ... Toute gaie toute joyeuse , heureuse de vivre , mainteant moins mais qd mm

Je suis d'accord avec Irod concernant les poèmes de Zaza...
Pour en revenir à l'inspiration je répète que chacun est libre de trouver où cela lui est le plus aisé en fait...la mort, l'amour, l'adieu, l'espoir, la trahison...

bon c'est vrai je suis d'acord, moi je prèfère parler de la mort dans un poême que de l'amour, l'amour on en parle tout le temp!!!ça deviens ch****!!
et Eva, si tu veux en savoir plus sur moi va voir à l'endroit prévu(c'est la que j'ai vu ton age!) et encore une fois bravo pour tes poêmes!

Irod: Je ne voies pas de quelle lieu tu veux parlé pr te connaitre mieux , dans MEMBRES Surement mais je ne connais pas trop ici..help me

mais quand on ne parle pas de la mort dans ses poêmes on ne parle pas forcément de l'amour...on peut parler du temps(ptdr)d'une de nos passion, la zik...il n'y a pas que la mort et l'amour.

zimcri a écrit : mais quand on ne parle pas de la mort dans ses poêmes on ne parle pas forcément de l'amour...on peut parler du temps(ptdr)d'une de nos passion, la zik...il n'y a pas que la mort et l'amour.Les sujets PRINCIPALS a 'faire' en poème moi ca mexaspère , regarde précédemment j'ai fait un texte sur la pluie..ca change.

Eva, si tu veux me connaitre mieux tu peux aller voir sous "divers", sous la première rubrique(tu y as toi même inscrit quelque chose!)

Je suis d'accord, les grands sujets pour les poèmes, c'est lassant ..

UN MATIN CHAMPETRE

Dans la chaleur précoce du matin d'été
Dans la rosée évaporée il se réveille
Tremblotant car vêtu du plus simple appareil
Parmi l'herbe et les insectes un ver s'est levé.

"Mais couvrez-le" crièrent devant le lombric nu
les escargots outrés par la scène incongrue
Fuyants, jurant qu'on ne les y reprendrait plus.
L'oiseau passa : plus jamais le ver ne fut vu.

c'est dingue comme on peut ecrire des horreurs dans ce monde pfff...

La goutte du scientifique .. à LaRmoYante.

Une nuit d'automne, dehors je regarde l'orage
Je regarde la pluie, les gouttières qui s'emplissent
Du suintement qui découle, il me saute aux yeux l'outrage,
Aux lois de la physique, de la logique et mon front se plisse

Faite de sueur, elle glisse de mon front
En s'écrasant au sol, elle va rejoindre les siennes
Former l'océan d'incompréhension, le véritable affront
Emportant son secret, peur qu'un jour je le tienne

Je le découvre enfin l'univers de la goutte
Ce monde parfait où la sphère est la reine
La physique l'explique, malgré tout j'ai des doutes
Face à la nature les équations sont à la traîne !

On me parle de pression, de tension ..
Où elle glisse lentement je ne vois que douceur,
On prétend cette force superficelle, quelle prétention !
Alors que cette larme, si sincère, reflète le fond de mon coeur.

(bon vu que je viens d'écrire cette chose, il y a quelques discordances horribles qu'il faudra retravailler)

très jolie vigi

Aller, après le ver de terre, un autre alexandrin.


Poésie larvaire

Que d'ignorance et d'idiotie dans ces vers
Chers poètes, je suis piêtre, nu comme un ver
J'exècre, opposés à la souplesse du bois vert,
Mes mots sont pourris, hachés, cassants comme du verre.

"C'est normal, tu fais la poésie à l'envers"
Le discours du maître éclaire l'effet pervers :
Discordance et mélodie faussée, le calvaire
Me lire et supporter, ne soyez point sévère.

Est-ce que les connaisseurs pourraient rappeler ici les règles de lecture, et pour compter les pieds, parce qu'ils y'en a certains dont je ne suis pas sûr.

"Que di gno ran c'et di dio tie dans ces vers"
<-- je crois qu'un mot finissant par le son "e" suivi d'une syllabe voyelle fusionnent c'est bien ca ?
Par contre dans le vers suivant, ai'je raison de penser qu'excècre ne fait que 2 syllabes, car suivi par une virgule ?
"J'e xècre , o ppo sé à la sou ple sse du bois vert"
si à la place j'avais eu la phrase suivante :
"J'e xècre , car face à la sou ple sse du bois vert"
exècre est bien en 2 syllabes ? la virgule n'a rien à y voir ; ou alors en 3 syllabes, car suivi par une syllabe consonne ?


De meme, je ne me rapelle plus l'histoire des rimes féminine et masculine ?
Masculine c'est pas comme les rimes de ver et verre qui ne comportent qu'une syllabe malgré le e final à verre ?

vigi a écrit : La goutte du scientifique .. à LaRmoYante.

Ton poème est très jolie! Mes félicitations ..

*:rime fémine: exemple "cette fleur jolie et tendre
*:rime masculine: exemple " cette douce et tendre fleur"

*:Un mot se terminant par e permet d'ajouter une syllabe dans ce cas: "douce fleur" ferait 3 syllabes
En revanche le e situé devant une voyelle comptera pour une seule syllabe :"douce et heureuse"
Ton "j'execre" en revanche fait 3 syllabes, la virgule comptant comme une pose dans la lecture (comme une fin de vers)

*: Un e en fin de vers ne compte pas: par exemple "douce" en fin de vers ne fera qu'une syllabe comptée

Voilà, je ne sais pas si j'ai été claire...

si si mais ton explication se contredit : tu dis qu'un e en fin de vers ne fait qpas de nouvelle syllabe, qu'une virgule équivaut à une fin de vers, mais qu'alors execre ca fait 3 syllabes, alors que ca finit par un e. Alors?

heu...oui effectivement je me contredis...
Effectivement on doit lire "j'execre, opposé", cela compte pour une syllabe, mais je ne sais pas, dans ma lecture j'ai tendance à insister sur le "e", mais je pense que je me trompe, ou que ce genre de vers permet justement une certaine liberté de lecture, dont les linguistes sont si friands, mais qui me dépasse complètement je dois dire...

Où si quelqu'un a la réponse....

personnellement je suis tenté de lire : "J'e xecr, o ppo sé".

Merci en tout cas pour tes explications isis
et merci LaRmoYante pour le compliment. Je sais que j'ai encore beaucoup de progrès à faire hein, mais c'est de la poésie pour s'amuser
(si si , moi ca m'amuse ...)

bon, le problème avec ta manière de lire isis, c'est que mon vers fait 14 pieds au lieu de 12, et adieu l'alexandrin !! Deja qu'il y en a un de trop (j'avais pas compté le "sse" de souplesse )

BOn la prochainement fois j'ecrirai un truc du genre, il n'y aura pas de confusion possible :

"J'exècre face à la souplesse du bois vert"
Comme ca j'ai mes douze pieds et tout le monde est content.

vigi a écrit : et merci LaRmoYante pour le compliment. Je sais que j'ai encore beaucoup de progrès à faire hein, mais c'est de la poésie pour s'amuser
(si si , moi ca m'amuse ...)Non mais c'est sérieux , je trouve que tu n'es pas un écrivain comme les autres! C'est très originals ce titre ci: ' La goutte du scientifique'
C'est très cool! Tu as de bonnes idées , donc tu vas bien t'améliorer et entre nous , c'nest pas catastrophique car moi en tt cas j'en juge que c'est très bien

AMY :

Premier « poème » à Amy :

Au silence restons suspendus quand demain tes doigts tisseront les mots de ton âme incertaine. Heureuse, tu cherches de l’autre le regard, apaisée de tes nuits sans cauchemar. Je t’imagine comme le plus beau des cadeaux de la nature et comme le plus beau des cœurs attendri par l’oiseau blessé. Je te donnerais tout le temps qu’il me reste à vivre et ma dernière cigarette pour que tu puisses l’écraser. Je n’aurais de cesse que de croiser ton regard, qu’il soit celui d’une humanité resplendissante. Je t’offrirais la rosée du matin, les étoiles de la nuit et mon épaule pour t’y appuyer. Le temps me donnera raison : fidèle compagnon, tout ce que tu voudras tu l’auras si je peux te le donner. Tu n’auras plus à craindre la nuit : chacune sera celle de Noël. Tu n’auras plus à redouter le froid : je te couvrirai d’un manteau de plumes. Tu danseras avec moi le slow du jour qui se lève et mes bras se blottiront contre toi. Ton épaule est si douce que ma main semble s’envoler. Apaisée par un baiser emprunt de rosée, ton image s’avancera et réchauffera ma vie dévêtue.

Angers, le vendredi 17 septembre 2004.

Elle est là présente;
Chaque jour elle te hante ;
C'est elle qui viendra te retirer la vie ;
elel a senti;
en toi la déprime;
De ce crime ;
dont tu n'est pas l'auteur ;
Mais tout au fon de ton coeur;
Tu attends la ,sagement, ton heure ,
Tu as aussi très peur ;
Ce soir pour toi ;
C'est la fin de tes remords ;
C'est la vie qui s'éteint : tu est mort ! vili .......

Bravo zaza , Dommage qu'il soit si court ! Mais il serait encore mieux si ce serait encore plus mistérieux ! Enfin c'est mon avis ! Mais c'est déjà trés bien !

Voici un poème ..pendant un Bad sur Radiohead..Je vous laisse lire.. Pensée à Irod :

Ecoutant une triste mélodie , mes larmes montèrent..
Pleurant pour des souvenirs
Ne plus vouloir penser à l’avenir
Oublier en un instant qu’on peut mourir pour enfin ne plus voir cette terre.

Les plaintes de mes parents me coupant de mon monde euphorique..
Me remontèrent les noirs pleurs de mon cœur..
Remettant maintenant cette musique pourtant si basique..
Je versais une goutte de mon eau précieuse pour ma vraie sœur..

Encore ces cris insensés de mon père qui me troubla ,
Je baissai le son .. Je pensais soudain à ma vie à présent..
Pitié , Je ne veux plus sentir cette larme qui m’ensanglante ..
Ma mère me disait quand j’étais petite ‘ Quand tu voudras , tu pourras ‘

Il ne fallait pas me dire ça Maman..
Mes pleurs se font de plus en plus bruyants
Mes souffrances excellent des pluies de couteaux sur mon corps..
Ma mère vient , viite dépèche toi , ma conscience , vite ma putain de main !!!

Ca y’est , je suis heureuse..Mes larmes sont mortes ..et la chanson est finie…

une caresse de toi!

Respirant un vent chaud
bruissant sur les feuilles,
me revient en écho
cet instant, lorsque seul à seul
chaque intonation de tes mots,
tendres comme des linceuls
s’étendaient sous le soleil,
brûlant ma peau
Je savoure ce moment
qui est plus qu’une étincelle,
un soubresaut
plutôt un feu bien vivant
de nous deux tourtereaux.



Je t’aime, je t’aime
tu m’extirpes de ma peine,
tu me fais rêver
et me ramène à ma réalité
Je t’attendais comme une caresse
se déposant avec finesse
sur le plaines de mon cœur,
nos battements redoublant d’ardeur.



J’arpente ma vie tel un roman
saupoudrée d’amour, de romantisme
je ne cherche aucun dénouement
seulement mystère, sans réalisme
mon cœur a la fragilité d’un enfant
recherchant l’amour d’un pur amant
un rêve fou de funambulisme



La peur me prend à chaque tour de page
Où se trouve mon troubadour ?
Peu à peu s’efface cette image
pour me dévoiler un homme,
éperdument amoureux de mon rivage
parsemés de mots chantant farandoles.
Quel sera notre prochain stage ?


Mes sens s’aiguisent, un peu folle,
car sans la distance et le temps,
je pourrai assouvir cette envie frivole
de me glisser dans ses bras éternellement …

Artaban

ouha Ema, j'adore tes poêmes, surtout le dernier!!!

Car Sans Toi...


Déchue de ton regard,
Je m'incline.
Note histoire s'égard,
Mais je m'obstine.
J'voudrais tout reconstruire,
Vivre encore un peu avec Toi,
Mais je ne fais que tout détruire
Un peu plus chaque jour, chaque mois.
Sur mes joues, des larmes roulent...
Autour de moi le monde s'éccroule...
Car sans Toi je maffaiblie,
Car sans Toi je ne vis plus, je survis...

Je dois purger ma peine
Atroce souffrance
D'un coeur en partance
Pour l'errance
Je veux hurler ma haine
Alléger mes malheurs
Retrouver le bonheur
Mais ce n'est pas l'heure
Je dois encore attendre
Pour revoir nos moments tendres
Que j'ai pu connaitre dans tes bras

Ami retiens donc notre peine
Notre esprit n'est plus cohérent

Ami retiens donc notre peine
Notre errance est semée de nos pas

Ami retiens donc notre peine
Notre solitude ne peut plus rien

Ami retiens donc notre peine
Notre souffrance fait un mal de chien

Ami retiens donc notre peine
Notre mort est marquée d'attente

Ami retiens donc notre peine
Notre méditation est ardente

Ami retiens donc notre peine
Notre sanglot se mêle à notre rire

Ami retiens donc notre peine
Notre vie est dans l'éternité

L'Ange Noir a écrit : Je dois purger ma peine
Atroce souffrance
D'un coeur en partance
Pour l'errance
Je veux hurler ma haine
Alléger mes malheurs
Retrouver le bonheur
Mais ce n'est pas l'heure
Je dois encore attendre
Pour revoir nos moments tendres
Que j'ai pu connaitre dans tes bras





L'ange noir pourrais tu ouvrir un sujet en contact/aide s'il te plait?

merci Eva!!(pour ta pensée envers moi!!)

J'aime pas trop écrire des poêmes et surtout pas d'amour mais hier soir je réfléchissais a tout et rien et j'ai eu une idée de poême:
Un amour brisé:

Voilà, tout est fini entre toi et moi
On en restera là
Ca ne recommencera pas
Il n'y aura pas de deuxième fois

Pour être heureux
Il aurait suffi que nous soyons deux
Que le ciel soit bleu
Et notre amour lumineux

De notre amour on en déduira
Que tu n'as jamais été là
Que notre couple se brisa
Et que l'on ne le reconstitua pas

Ce devraait être chaleureux
Pour vivre comme eux
On devrait se parler sans être malheureux
Ou tout simplement être encore amoureux!


Merci de me dire se que vous en penser(en bien ou en mal)
moi personnellement je trouve ça bofff
!!!

Tu devrais éviter de rechercher à écrire absolument en rimes... Tu y est trop soumise. Elles sont lourdes. Du coup, tu ne sembles pas vraiment exprimer ce que tu ressens au fond de ton coeur. Essaie d'écrire "directement" ce que tu éprouves, et de le mettre ensuite "en forme", en cherchant des harmonies dans les mots et du sens dans les images...

Merci de ta réponse, je vais essayer mais le problème c'est que moi et les dissertation, poêmes, ou autre formes de rêverie...on ne va pas ensemble!!

tu fais un peu comme moi pas avec trop de rimes mais en mieux !

j vois pas trop ce que tu veu dire ...?

Ca doit être une figure de style, mais je n'ai pas les connaissances suffisantes pour la comprendre ..

ben euh irodounette moi je fais pas bcp de rimes ( enfin j'essaie du moins lol) tu fais un poeme comme moi mais en mieux !!!???!!! compris?

ouai je vois, seulement(comme le dit Yves)les rimes c'est pas si joli que ça, et en plus je préfère tes poêmes!!!!

irodounette tu me surprend mes poèmes sont pas si bien en fin de compte ! ( je sais de quoi je parle )

On en pense ce qu'on veut, mais voilà, quand je me livre à l'écriture automatique ça donne ça: bizarre bizarre quand même... :

Plume à l’encre noire, à l’encre tapée, je délie ma main et vous envoie valser. Passage d’un monde à l’autre, j’ai le cœur à la dérive et m’empresse d’aimer le bleu de l’horizon. Mon cœur fané, rosier de mes attentes, je rêve et patiente, jamais le temps n’arrachera mes épines, comme un arbre infini, à mi hauteur de ma vie,. L’abîme de l’âme humaine et effroyable, horreur des séparations, illusion de l’amour et des mots. Mes poèmes comme un cadeau, je donne et n’attends rien qu’une écoute et un pardon. Femme entière et décadente, j’attends le jour et la nuit, je prends l’herbe d’une furie. J’aime, je hais, je ne sais plus, j’attends que ma main m’offre le pouvoir de décider. J’attends, j’attends, j’observe le monde, valeur de rien, bougie fumante et consumée, l’exutoire de nos pensées s’envole en fumée. Le goût de rien, le goût des autres, je m’enfonce. Destruction par quelques mots, il m’a détruite, me décompose, ma prose, mon rien, mon infini. Une gargouille de cathédrale désespère de n’être qu’une pierre, édifice de tout un monde construit et mystérieux. Le feu brûle et réduit en cendres la passion qui nous enroule, sur mon tapis d’encens je dégénère et ne réfléchis plus.

Comment vous faites pour faire des aussi beau poêmes!!!moi j'ai pas le don(c'est pas grave)...bon tout ca pour dire que;Isis ton poême est sublime!!!

Bon aujourd'hui c'est l'anniversaire de ma maman alors je veux l'honorer :


Maman

Plus douce que ton coeur
Plus jolie qu'une fleur

Tu m'as donné la vie
tu m'aimes , moi aussi

pas besoin d'un poéme
pour te dire que JE T'AIME

voili

irod a écrit : Isis ton poême est sublime!!!
merci Irod

Bon je vais improviser un peu...
Ce poeme traite des complexes d'infériorités
si communs à l'être humain, aussi les réactions
de jalousie...

Poeme de la lune à la terre:

O monde Terrible immonde, <= Attention ! 3xCombo Jeu de mot ! A comprendre !
Toi qui m'insulte !
Du haut de tes monts,
Tu ris sans honte.

Mes dunes ne sont pour toi,
que le reflet de mon émoi.
N'ai crainte car il viendra !
O Le jour ou tu éclatera !

Hé ! Pourquoi ma douce compagne,
qui toujours m'accompagne,
votre haine, à vous condamner m'appelle,
jusqu'a la révolution éternelle...

Eloi Du Bois...

Djar => bien fait ton jeu de mot!!!!BRAVO

de monon coté , Voici un poème très personnel...Vous comprendrez en lisant à qui il est adressé et pourquoi

….Rêve , je te parle.

Quand mon regard se fixe sur ton allure..
Je rêve , je rêve de toi…Et je crains l’augure.
Prend ma main, s’il te plait , fais ça pour moi ;
Je rêve..Je rêve de toi … Fais moi oublier la mort pour renaître dans tes bras..

Je ne pas trop d’idées , je vois simplement la réalité..
Je pense , je pense à toi …Et je tombe dans le gouffre du rêve incontrôlé..
La réalité , que tu es garçon apaisé.. en recherche peut-être d’une petite fée ?
Je pense , je pense à toi … Cher garçon enchanté , puis-je t’aider ?

Je suis sans répères et je me plonge dans un univers obscur ,
Je dors , je dors avec toi , dans mes pensées insensées…
Quand tu n’es pas avec moi je me dis que je ne ferai mieux pas d’espérer.
Je dors..Je dors avec toi mon ange , tu rends les roses de mes rêves flétries…

Quand ton visage si angélique scrute le ciel de ces plus belles merveilles,
Je voie , je te voie … Je t’admire…Ta beauté , la vraie , c’est toi qui l’a ;
Ma vue devient trouble , j’oublie tout et toi , tu es là.
Je voie , je te voie ..Tu me voies , je reviens au monde réel , et je te souris :

A toi le poète aux réactions sans réponse…
Toi qui possède la vraie beauté
Toi qui n’essaye pas de ne pas être toi-même..
Toi qui m’a fait écrire ce poème..
La petite fée mélancolique est amoureuse de ce Toi.

Excepté la dernière strophe, c'est le genre de mots que l'on pourrait écrire à son enfant...Très joli, vraiment très joli...

Larmoyante : c'est vraiment magnifique, j'en ai presque les larmes aux yeux. Je ne suis pourtant pas si sensible à la poésie d'ordinaire... Mais là c'est léger et ça ne sent pas du tout la contrainte des vers. Le message est d'une pureté extrême.
Tu as une plume en or, cultive-là, ne gâche pas ce talent si précieux.

Merci pour ce moment de douceur, j'ai adoré.

Bon, certains ne vont pas aimer, mais tant pis, je reste dans l'auto dérision (ou le massacre ).

Poèt' ...icide

Un squelette ambulant, je suis tout sec, aride
Si je dors on me croit mort, vu l'odeur putride
Si je parle et bien c'est pire ! vu l'haleine fétide,
Et si j'embrasse je brûle d'un jet d'acide.

Tout est pourri : mon caractère ? je suis avide
Mes relations : guidées par mon esprit perfide
L'humour n'en parlons pas, je ne fais que des bides,
Je crains que la seule solution soit le suicide.




... bah quoi ???

Ah non, tu ne vas pas t'y mettre toi aussi!
Tu baisses d'un coup dans mon estime non pas par le poème en lui-même, mais par cette vision que tu as de toi-même.
tu me déçois beaucoup...snif

bah on peu meme plus rigoler, rooh. c'est de l'humour hein. J'ai une trop haute opinion de moi-meme pour me reconnaitre dans ce portrait .

(mais je trouve plus facile d'écrire à la première personne).

isis a écrit : Excepté la dernière strophe, c'est le genre de mots que l'on pourrait écrire à son enfant...Je n'ai pas compris ta remarque Isis...

Je te remercie de ton complement Amy , ca me touche ....j'espère te donner encore des pitites émotions parci parlà pour les prochains textes ou poèmes

@Larmoyante: en clair ce sont les mots que j'aurai utilisés pour écrire un poème à mon enfant...

LaRmoYante a écrit :
Je te remercie de ton complement Amy , ca me touche ....j'espère te donner encore des pitites émotions parci parlà pour les prochains textes ou poèmes
J'y compte bien, et je ne manquerai pas de te donner mes impressions

Je le prend pour un compliment....

@Amy : Le Désarroi


Ce devait être en 1930, en pleine campagne, dans la forêt de Rambouillet. En ce moment, je suis un peu perdu…Quand je regarde à ma fenêtre, ma forêt d’enfance, je songe à ma vie…..Seulement quelle est-elle ?
Depuis peu, je ne me retrouve plus dans mes idées. Je ne sais plus a quoi rime mes actes et mes envies mes passions… je l’ai su enfin je ne suis plus sûr. Qu’ais-je fais hier ? J’ai de vagues souvenirs, mais si j’associe le tout, c’est totalement incohérent. Je ne travaille plus. J’étais chef des grandes usines, selon des factures anciennes, si ma mémoire est bonne, je l’affirme. Mais voila le problème puis-je encore compter sur elle ? Est-elle encore avec moi ou suis-je seul ?
Depuis quelques temps, je me pose des questions. Toutes mes idées se troublent, mes souvenirs, mes projets … Je vis au jour le jour. Je reste interdit face à ma vie. Le monde qui m’entoure devient grand et vaste , je le voie avec des yeux nouveaux , tout m’est étranger et je découvre à nouveau un univers qui jusqu'à présent m’étais commun mais me parait maintenant inconnu .Ma forêt …je la considère comme ma mère vaste et embrumée . Malgré tout elle était chaleureuse si je m’en souviens bien mais maintenant elle me semble froide et inquiétante.
Je ne sais plus trop quand, j’étais allé me promener dans ma forêt, un peu déboussolé et fatigué. Puis je me réveillais dans un cabinet de médecin, aidé de deux hommes. Le médecin me posa diverses questions auxquelles je ne pus répondre. Je commençais à paniquer ; on me coucha et l’on me dit de me reposer. Un certain temps après le médecin désira être seul avec moi pour éviter que l’on me bouscule. Il me demanda ce que j’avais fais de ma journée. A son grand étonnement, je sus répondre. Il ne m’expliqua tout de suite sa surprise, mais maintenant je le sais, je n’avais pas su lui en parler trois heures avant ; et il m’avait réveiller sans que je ne pu me rendre compte que je dormais. Pour moi, je vivais et n’arrivait plus à savoir ma vie autre qu’à travers ce rêve. Où était la vérité ? Je ne savais plus et ne sait plus. Il me reconduisit chez moi et me conseilla vivement de me reposer. A partir de ce jour, je suis perdu. Je revis ce médecin à plusieurs reprises, il m’expliqua que je vivais dans deux mondes totalement incohérents. L’un, la vie de tous les jours et l’autres ….mes rêves. Je ne me rendais plus compte que je dormais, pourtant je n’étais pas fatigué.
Un jour, je pris conscience que mes idées n’étaient plus claires …et voulait comprendre ma situation.
J’avançais en direction d’une verrerie, en voyant les flammes, je voulus en avoir le cœur net et toucha le feu. La douleur se fit incomparable .A cet instant, je croyais rêver mais en touchant ces rubans dorés, je compris que ce n’était pas le cas. Et pour une fois, je distinguais et réalisais que je vivais dans deux univers différents ; j’avais une attitude autiste.
Il est bien évident que tous ces évènements me troublèrent et je dépassais les limites de la réalité. Je vous parle mais je ne sais pas, tout cela c’est le médecin qui me le raconte, tous les jours pour que je ne l’oublie pas ; qui me l’écrit. J’ai la mémoire atrophiée et ne me souviens que de mes rêves.
Enfin si je ne me trompe pas …
Je garde un espoir , inespéré, qu’un jour je me rappellerai de tout ça sans avoir le médecin à mes côtés pour me souffler la vérité , mais quelle vérité ?
J’espère , mais pas seulement pour avoir un passé et pouvoir envisagé un avenir mais aussi car de ne pas me souvenir de la journée qui précède fait de moi , une âme seule , morte , sans but.
Et ces faits forment un grand vide dans ma vie , les jours défilent et moi je reste immobile , face à mon triste, pitoyable, misérable et cruel destin…

texte d'une amie et de moi

Merci pour cette attention, Larmoyante. J'ai lu, j'ai relu, et j'ai beaucoup apprécié. J'ai trouvé très léger, très fluide. Je me répète, tu as un don. Ok, ça m'a moins émue que ton poème, mais le sujet s'y prétait moins...

En tout cas, continue comme ça, tu as une fan!

+1

Rêves brûlés

Hérésie d’un temps où les rêves ne sont plus, formidables instants où les larmes ne coulent plus. Mon âme déliée et le sourire figé, entreprennent de ne plus voir ce que mon coeur ressent chaque soir.
J’ai pourtant tout ce dont je rêvais, mais le vide ne se comble jamais. On espérait encore naïfs pouvoir prendre la vie par le vif, on voulait juste partir loin, espérant meilleur chemin, se regarder s’éloigner comme deux enfants égayés, cherchant dans le passé mille reflets d’éternité. Mais je n’ai qu’aperçu un nouveau vide, fait de la terre autrefois durcie et rassurante, se dérobant à présent sous mes pas, une nouvelle vie terne et blessante, refoulant de nouveau tous mes combats.
Le ciel est gris et les cœurs sont sombres, personne ne sourie même plus à son ombre, seul l’horizon, éternel et lointain, semble donner de la vie à des milliers de pantins. Que l’on crie, qu’on râle ou qu’on rie, il n’y a que masque d’agonie, on ne veut pas croire que ce qui alimente le vrai désir n’est plus que l’ultime envie de fuir.
J’ai reçu ce merveilleux amour auquel je ne croyais plus, mais ce en quoi j’espérais encore d’un souffle seul a disparu. J’imaginais volontiers comme je créerai l’alentour à mon image, je rêvais que l’amour serait le souffle du sage, comme l’embaumement magique d’une vie déjà pleine, mais tout reste pathétique, sauf la passion que je mène.
Rêvons ensemble d’un avenir ailleurs, où chaque seconde est pour nous un cadeau, une auréole de joie et de fleurs, où l’amour peut se vivre sans un mot. J’oublierai cette terre car elle n’est pas mienne, d’argent et de pierre sera mon nouveau domaine.

Zarno

Le temp meurtris

Le vent qui se léve
Sur ma peau qui se condamne
Fini le temps des rêves
Puisque ici morte sont les âmes

Le temp de guerre a commencé
C'était bien mieux dans le passé
Maintenant on vas tous se tuer
Tous se tuer.

Mais si dieu existait
Crois-tu que tout ca il ferait ?
Si dieu le voulait
Alors a l'heure qu'il est

Nous serions tous aimé
Tous accepté
Tel que nous somme
Mais ce monde qui nous assomme

En a décidé autrement
Dans ce monde si noir
Je regarde tristement
En vente mon désespoir

Mais c'est trop tard
c'est trop tard...

je trouve tous ses poémes MAGNIFIQUE bravo a vous !!

[Merci bicoup à tous ]

Je suis "Perdue"....

Je n’ai plus de repère, mon cœur est fatigué . Chacun de mes pas , m’efforcent de m’asseoir toutes les minutes ,Je n’arrive plus a créer , créer et recréer mes rêves en écrits.. Quelques personnes me diront que « Tu es perdue » Mais non détrompez-vous !! Que veut dire « Perdu » ? Je ne sais pas , je ne sais plus…Je ne peux plus savoir , je suis fatiguée…Lasse. Je m’assoie , et pose ma tête chauffée par le soleil tapant contre le tronc d’un arbre… Je pense , du moins j’essaye…Ma tête se penche en douceur , et tout doucement , la petite fée de mon cœur me fait comprendre que j’ai besoin de dormir… Je tombe alors dans un sommeil très profond…A mon réveil , j’ouvris minutieusement mes yeux …là, les arbres avaient fleuries , j’étais entouré de fleurs des bois , blanches , jaunâtres , roses , et même beiges. Je fus éblouie par tant de beauté…Je me croyais dans un rêve…Mon rêve. Je montais sur le fameux arbre pour avoir un aperçu plus ample de cette nature éblouissante . Je m’allongea sur la plus grande branche de cet être , je regardais le ciel en scrutant les nuages par dizaines…Je pensais à toi ….. L’ange qui vit là haut , mon ange , tu me manques… Ca y’est je réfléchis , enfin je ne suis plus la petite fée au visage livide et sans expressions…Non ….je suis la vraie petite fée qui renaît ! Quelques minutes après mes pensées mélangées dans mon âme.. Je vis des flammes de couleur rougeâtre à mes pieds. Ah j’étais bien…J’étais tellement bien dans mon monde euphorique. Je me dis « Qui ne tente rien , n’a rien » et plus précisément j’osa me jeter dans le fossé où le feu logeait.. Je sentis alors que mon corps se décomposait, une chaleur torride me brûla les yeux , mes ailes disparaissaient comme de blancs voiles brûlés auraient pu le faire… La fée était perdue , sans issues…..Perdu , tu as vu , tu as son vrai sens , et je ne te demande pas ton avis sur ça ..Juste une pensée pour l’âme morte en apprenant la vie.....la vraie.

Je refais le même commentaire
C'est beau, c'est magnifique... Un de mes préférés de tous ceux que j'ai pu lire de toi !

Eva, si tu devien pas poête...non je rigole, mé je n'ai rien a dire de plus que; c'est magnifique, tout tes poêmes sont sublime!!!

Elle l'est déjà ...

Magnifique, je rejoint irod et Dark, continue j'adore

Désillusion

Je n’ai pas vu le brouillard dans tes yeux se lever, mais l’espoir d’un amour embrasé. Je n’ai pas cru ta passion se retirant, mais quelques doutes pour l’espace d’un instant.
Les baisers que je t’ai volés et les échanges tendrement partagés n’étaient ils qu’un leurre pour tromper mon attention ? L’amitié pour un étranger aux espoirs consumés, la dernière heure de folie de qui ne croit pas au non.
Longtemps j’ai cru en nous comme l’on croit en un Dieu, pourtant l’amour soudain n’était plus dans tes vœux, et moi incapable de réagir, j’ai subis l’agonie, et je ne puis plus qu’écrire, mes râles de cette nuit.
Mais je ne puis t’en vouloir, fusses tu de mes muses la meilleure, j’espérais juste ce soir, une dernière fois toucher ton coeur. Je ne t’oublierai pas ange amour, et si tu sens que je m’éloigne de toi, c’est pour faire le deuil de notre relation, je resterai près de toi pour toujours, t’aidant sur chaque mauvais pas, te guidant au seuil de ta consécration.
Je veux voir ton coeur s’enflammer de nouveau, et mon âme te rejoindre là haut, je veux sentir l’expression de notre immortalité, oh oui reine de ma vie, tu es l’héritière de mille paradis. Ai confiance en l’avenir, tant tu es merveilleuse, puisses tu à la vie sourire, et toujours être heureuse, car je sens dans tes mains l’expression d’une aura magnifique, quand de tes lèvres s’envolent mille notes et passions d’un chant onirique.

Zarno

J’ai ressentis près de toi l’émotion de l’amour parfait, la plus belle des histoires, j’ai vu dans tes yeux mon reflet, le plus grand des espoirs.
Où se perds donc ton coeur aujourd’hui quand ton sourire s’efface ? Que devient ton bonheur dans cette vie qui te rend lasse ?
Oublié que je suis-je dois m’en aller, car damnée est mon cri et faible la pitié.
La pluie se brise sur les carreaux et sa douceur se mêle à mon fardeau. Regardant au dehors je vois sourire les gens, comme autant de liesse à mon néant. Mon âme se lie à l’univers, cherchant aux confins des galaxies, une stèle vierge de pierre, pour qu’enfin on m’oublie.
Pourtant je cherche hagard, dans l’attente de meilleurs jours, les vrais sens de tes regards, qui m’hanteront toujours.
J’ère à présent, dans nos moments de partage, je prends le temps, des pensées d’un autre âge, quand la vie s’enlise mais veut le meilleur, une chanson grise pour m’ouvrir le coeur, pour que quelques instants d’absence ne brisent pas nos dernières chances.
Bientôt se rejoindrons de nouveaux nos ailes, plus qu’un amour, un immortel destin, une amitié sincère et belle, pour consacrer la force, de notre nouveau lien.

Et bien , Zarno ! Continue !

Zarno c'est superbe, bravo

Merci Zarno, c'est une pure merveille

merci les filles

Tu as deux groupies!

trois avec toi

4 avec moi...c'est magnifique!!!!

5 Bravo à toi Zarno!

Voici un des mes anciens poèmes.. :

--> Je ne suis là mais vous ne le savez pas <--

Quand je te regarde , tu ne me voies pas ;
Tu restes indifférent , comme tous les autres .
Suis-je invisible pour autant ?
Ou personne n’a d’yeux pour moi ?

Je ne sais pas , je ne sais plus , je ne veux pas savoir ..
Et malgré mon grand désespoir
Je tarde de connaître où est mon bonheur parmi ce monde ?
Dans quel but dois-je restée en vie , clouée , ici .. ?

Aidez moi , aidez moi à sortir de là..
Je ne peux que m'enfuir dans mes drogues incompréhensibles
S'il vous plait , vous , âmes parfois si sensibles
Parlez moi , souriez moi, faites moi rêver ,
Pour que je rêve au moins une fois ,
Avant que ma mort ne se programme , pour ne pas en resté là..

Il pleut du gazoil
C'est alors que je tens une toile
Et regarde tomber
Ces grosses gouttes salées
Comme un jour(e) gris
Sur Paris

Ah vous les poétes

Ah vous les poétes !
Que de rimes
Mais que de la frime
Et votre coeur en fête ->COMBO si vous trouvé vous trouverez un groupe de musique

La fête que pour les joyeux
Car noir sont les poémes
Des artiste ayant de la peine
Et leurs poéme sont si mysterieux

bon voila j'ai lu vo poemes et c'est vraiment beau alors j'ai décider de me lancer aussi (soyez indulgent please )

Naïades

Il est d'un monde
Où l'eau se fait onde
-Ondine , ondine ou est-tu ?
-Je suis là ou ton monde n'est plus,
Là où les morts son vivants
Et où s'arrête le temps...
-Es-tu triste beauté sans pareille,
D'on le vissage brille de mille vermeils
Dans se monde isolé
Où meme les rêves sont happé ?
-Non je ne le suis plus
Car pour mon coeur tu es l'elu
Ta voix fut le cor de ma liberté
Et de toi je n'attend que le baiser...

Whouaou!! Et bien j'aime beaucoup...

merci isis
je suis pas un poéte mais j'aime bien écrire et bah maintenant je vois que je suis pas si movais en poésie

j'aime beaucoup les vers comme "je suis là où ton monde n'est plus"...profond...ça me donne des idées en fait...

Cette haine qui me plonge dans l’obscurité, n’est là que pour tisser une toile entre mes ennemis et mes amis, mais sûrement pas pour m’aider à refermer la brèche grande ouverte dans mon cœur, ni pour m’aider à faire la paix intérieure.
Ce n’est que trop tard, en m’apercevant de mon malheur, que je veux faire changer les choses, c’est seulement à ce moment que les fils s’entrelacent pour former une corde pouvant servir à repêcher ma dignité. Mais il est trop tard, le creux est déjà profond.
Si je veux pouvoir en ressortir indemne il me faudra du temps, mais plus que tout, il me faudra être forte et affronter mes réalités. Si mes amis étaient là pour m’aider et si l’on pouvait tout simplement revenir en arrière, ce serait bien trop facile rien ne servirait d’exister. C’est pourquoi, notre mère, la terre, nous offre la paix, mais aussi la guerre, un monde sans désastres, n’en serait que moins intéressent.

Il y a bien longtemps que je n'avais pas posté ici...

Mon jardin extraordinaire


C'est mon refuge, un paysage inviolable et si soudain. Je n'ai pas eu le choix que celui d'y vivre des jours incertains.
La-bas rien n'existe que le Beau. La nature parée de son plus bel écrin, vous enchante et vous promène sur ses chemins, vous berce d'étincelles, du souffle du bien. Le Beau comme une évidence, invincible et immortelle, comme l'apparence glacée d'un amant, et figée de diamants éternels. Prenez cette image comme le linceul de la vie, une communion sans lendemain. Mais gardez bien en votre esprit que c'est sur cette terre que mon destin a vascillé, et qu'éblouie de tant de grâce je n'ai pu me retourner. Je contemple malgre tout, avec autant d'audace le passé, ce tout, cette partie de mon univers que je vous livre en ce jour, car...
La-bas, rien n'existe que le silence. Unique présence du souffle qui danse, entre les ombres et l'unique chance d'entendre enfin le murmure de mon destin. Celui qui parcourt le chant des oiseaux, celui qui parjure le paysage de ses mots. Ecoutez...Ecoutez le...ce silence délicieux. Il tourbillonne sur vos peurs, il emprisonne vos frayeurs, vous condamne à n'être que vous, l'être unique et pensant. Seul vous ne connaissez le néant, mais savez savourer pour quelques instants, les psaumes tremblants de votre coeur, les prières blafardes de vos espérances. Ce seul son résonne en vous, échos de vos errances. J'écoute avec vous l'indicible présence du tourbillon rassurant du vent et vous confesse que...
La-bas, rien ne fait mal. Tout est douceur et noblesse. Les orages n'existent pas. Les éclaires sont seules maîtresses des étoiles qui professent et s'engagent à vous offrir leurs tendres caresse. Les anges vous protègent, construisent vos rêves et vos envies. Tout n'est que velour et folie. Dans ce monde, ayez confiance en vous et vos ennemis. Sachez que de la bienveillance nait ce qu'il y a de plus petit. Prenez le temps, celui de vous dire que les secondes de présences dans ce jardin seront pour vous l'iris du plus beau regard, celui que l'on porte sur soi, sur nous. Sachez que si j'y viens souvent, ce n'est pas par hasard. Le temps me fait vous dire aujourd'hui, que ce jardin est mon esprit, et certainement...le votre aussi...

Isis

isis a écrit : Whouaou!! Et bien j'aime beaucoup...+ 1

bravo ils sont top vos poemes.
j'ai mis sur ce mess ce que je préfairais.
celui qui me plait le plus c'est "oh maman"
-J'ai besoin de toi
-Parfois

[ pas laa peine de tous les citer met juste les titres]

alicemcbeal a écrit : Il pleut du gazoil
C'est alors que je tens une toile
Et regarde tomber
Ces grosses gouttes salées
Comme un jour(e) gris
Sur Paris
J'aime beaucoup ce court poème.

j'étais là assise,
Elle me gétée,
Elle ma prise ,
A ma famille,mes ami(e)s,c'est fait !

Montée vers le ciel ?
Ou descendre vers les enfer ?
Comme une hirondelle ?
Ou comme un ver de terre ?

Des questions qui se réppèttent trop dans ma tête ,
C'est pour cela que j'enquête,
Pour enfin savoir qui a prier pour ma mort ,
Cela ils on eu tort ,

Mais cela est trop tard,
Je périt en enfer avec tous ceux de sombre ! vili !

zaza a écrit : j'étais là assise,
Elle me gétée,
Elle m'a prise ,
A ma famille,mes ami(e)s,c'est fait !

Monter vers le ciel ?
Ou descendre vers les enfers ?
Comme une hirondelle ?
Ou comme un ver de terre ?

Des questions qui se répètent trop dans ma tête ,
C'est pour cela que j'enquête,
Pour enfin savoir qui a prié pour ma mort ,
Cela ils ont eu tort ,

Mais cela est trop tard,
Je périt en enfer avec tous ceux de sombre ! vili !J'ai corrigé les plus grosses fautes, et j'ai mis en gras tout ça, avec ce que je ne comprends pas.
Ton poème me donne l'impression que tu as choisi une liste de mots qui rimaient et que tu as mis des bouts de trucs entre pour faire un poème... Ca fait bizarre

wow desolée je n'avait pas vu autant de faute chacun pense ce qu'il veut et ce poeme date de ya un mois je viens de la retrouver

zaza a écrit : Des questions qui se réppèttent trop dans ma tête ,
C'est pour cela que j'enquêteVoilà c'est à cet endroit-là que ça me choque le plus, je vois mal ce que "enquêter" vient faire là dedans !

si vous avez des sites avec des poemes veuillez me les communiquer dans les plus brefs délais.
j'adore les poemes certains sont trés beaux.
le style utilisé par les poetes me fascine:
-les comparaisons
-les métaphores
-les images
-les rimes


MERCI.......

@Charles, qu'on soit d'accord dès le départ :

Les comparaisons et les métaphores SONT des images...
Les rimes ne sont pas un "style" mais un outil, tout comme les images d'ailleurs...
Le "style" est le résultat de toute cette alchimie des mots et des lettres...

-Zone mortelle-

Il est des endroits
ou l'ennui est roi
tellement ennuyeux
que l'on s'endort plus qu'un peu
Vous me direz diable qu'elle est cette machinerie
qui permer tout ceci ?!
je vais vous le dire
sans vous fair languir
le chef de cette diablerie
se trouve logé a Paris
il dirige un ministère
qui vous rend un gout amer
cette personne a la puissance pappale
travaile au ministère de l'education nationale
je pense maintenant que tout est dit
un conseil fuyez ces lieux maudits
que l'on nomme sans y penser
ecole, college voire meme lycée

vous m'avez compris.
je ne savais pas que tu fesais des finesses au niveau language.
désolé si je t'ai choqué mais je n'ai rien fait de mal.
c'est une remarque en tant que modo ou forumeur?

En tant que membre. Faut avouer que c'était de l'à peu près ton message
(cela dit en tant que membre aussi)

charles a écrit : vous m'avez compris.
je ne savais pas que tu fesais des finesses au niveau language.
désolé si je t'ai choqué mais je n'ai rien fait de mal.
c'est une remarque en tant que modo ou forumeur?
En tant que lectrice tout simplement. Je ne fais aucune finesse de langage, je rectifiais juste afin que l'on soit bien d'accord sur ce point. Tu disais aimer la poésie, autant l'aimer correctement et à sa juste valeur...

je ne suis qu'un amateur et non un spécialiste

a++++ isis

Mais moi aussi...

alors ne soyez pas trop dur avec moi et je me suis lancé dans la rédaction d'une poésie.
jugez et moi et dites moi ce qui ne va pas........MERCI D'AVANCE.

voici ma poesie:

NOSTALGIE

Nostalgie des moments passés,
Que je ne pourrais effacer.
Première rencontre,premier baisé,
Choses que je ne pourrais oublier.
La nostalgie pleine de cruauté,
Que nous ne pouvons que détester.

alors votre avis m'interesse

Moui dans l'ensemble je trouve que c'est bon , mais tu sais ici c'est pas un tchat , alors il faut être patient , et même s'attendre parfois a ne pas recevoir de réponse ! Mais je trouve que ton poéme est assez court mais joli

inspiré d'une histoire vecu m'a aidé mais ce n'est pas de la grande literature.
j'ai bien fait rimer les vers sans balancer n'importe quoi je pense que c'est un pt positif.
le pt négatif c'est que sa manque d'originalité

Nouveau 'poème' :

Couloir sombre , deuil dans l’âme
Rires d’enfants , sourire blâme
Générosité donnée , blagues à tout vents ,
Plume déchirée , l’aile de l’ange est en sang.

Chose inerte , oiseau blessé
Magnifique fée , corps élégant
Trompeuse apparence , Ange dévoilé
Rose , noir , gris , rouge , ViOlEnT , Blanc.

Métamorphose du futur , nerfs coupés ,
Paroles mélangées , citations influençables
Veines funèbres , mots excités
Explications désillusoires , Mutilations probables.

Inspiration désordonnée , odeur insipide
Drap de sang immaculé , goutte de sueur déprimée
Air asphyxiant , O2 liquide
Linceul macabre , Rosée assoiffée..

Yeux fermés , Mains activées
Produit consommable , couteau à la main
Malaise séquestré , cœur resserré
Réalité objective , ……………………….

Bras pendant , lampe éteinte
Plaisir exprimée , Cris excitants
Paradis retrouvé , Goutte de sang
Lame imbibée , Pétale effleurée…

Vérité cachée , Virgule accentuée.

je sais pas si ca pourra etre qualifiée de poèmes mais bon je me lance :

N'ai crainte mon ange,
Entre ici,
Laisse tes peines au cachot,
Et ton ame en enfer ,
Repose ta tete sur moi ,
Et soufre en silence ,
Que tout tes péchés soit pardonnés ,
Par ta mort,
Je viens purger ma peine avec toi ,
Alors que moi je n'ai pas péché ,
Mais pour toi mon Amour ,
Je ferai nimpote quoi ,
J'aimerais enfin pouvoir te toucher , t'embrasser ,
Cela et trop demandé ?
Je te rejoins sans crainte dans ton sanctuaire,
qui est l'enfer,
Je ne veux pas croire que plus jamais je ne pourrai t'aimer,
Je n'ai pas pris la vie aux serieux,
Car je n'en suis pas sorti vivante ,
Imaginer etre enfin a tes cotés,
Mon Amour je t'aime!
Pourquoi m'as tu laisser ainsi ?
Moi je t'aimais que voulais tu de plus ?
Tu voulais peut etre ma mort ,
Pour pouvoir enfin voir que tu m'aimé ,
Pleurée pour toi je l'ai fait des centaines de fois ,
En ce moment ici je pleure car je t'aime ,
Tu est la seule chose qui compte pour moi ,
Comment t'expliquer que je t'aime ?
Sincerement je ne sais pas ,
Si c'est par ce que je suis folle que je t'aime,
Alors je ne veux pas guérir,
Je t'aime et ce sentiment j'aimerais le ressentir toute ma vie !
Mon amour encore une fois : je t'aime !!!

Debout dans ma salle de bain,
Une lame de rasoir à la main,
J'ai tendue mon poignet devand moi
Et l'ai ouvert en pensant à toi.
Le sang se mit à couler,
Ma tête à tourner.
Je me laissame tomber par terre,
Comme je suis tombée
Devant cette amour effaimère.

Puis j’ai entendue une porte claquée,
Mon nom fut crié.
Tout à coup, je reconnu ta voix. . .
C’était bien toi!
Tu es entré,
m'as pris dans tes bras.
J'ai regrétée,
Le geste qui vaint avant toi.Le sang continuais à ruisseler,
Tu ne savais que faire.
C'est quand je t'ai dis "je t’aime. . . "
Mes dernier mots prononcés,
Que tu es redescendus sur terre.

Pour la première fois,
Tu as versé une larme pour moi.
Tu dis que si je devais partir,
Toi aussi tu allais en finir.
Mes yeux se sont fermés,
Pour rester clos à jamais.
Mon âme s'envolait. . .
Du haut de la piéce, je te regardais.

A ton tour, tu pris la lame
Pour rejoindre mon âme.
Tu as mélé ton sang au mien,
Comme pour mélé notre chemin.

Tu t'es allongé à mes côtés,
As enlacé mes doigts des tiens.
Tu dis: " on va se retrouver. . . "
Et ce fut la fin...

Charles si c'était de toi ce serait encore mieux...

En tout cas c'est trés joli , mais ca vient de qui alors ?

houlà ce poème ça doit être la 30° fois que je le vois...Une fois, très beau, 2 fois, beau, trois fois, bien quatre fois , ok mais plus grrrrrrr ça soule surtout que personne ne mentionne l'auteur...

Idem Maogirl... Ca soule à la longue !

Héhé il est sur mon blog ! mais de là a dire que c'est toi ki la fait
Bizz ZzzzZ zzz

tu sais qui l'a écrit toi?

Je ne le connaissais pas mais peu importe qui l'a écrit, ça m'a énormément touchée...
Juste une petite larme au coin des yeux...

PS : Charles je te recitifie : devant et éphémére

Alors euh...si on va par là on n'a pas fini...

erf et le mien aloreuh ??????

Isis , juste un petit Ephémére quand même hein

Il y a aussi "a tourné", "continuaiT", "pièce", "redescendu" et "mêlé". Et j'en oublie peut-être. De toute façon, les poèmes sur le suicide ne m'inspirent guère.
Pas mal, Zaza, malgré les fautes d'orthographe et de grammaire.

oui je sais je me fait honte en orthographe et en Grammaire avant j'etais super bonne ett puis là ...0
....

Mandarine a écrit : Il y a aussi "a tourné", "continuaiT", "pièce", "redescendu" et "mêlé". Et j'en oublie peut-être. De toute façon, les poèmes sur le suicide ne m'inspirent guère.
Pas mal, Zaza, malgré les fautes d'orthographe et de grammaire.
Ah ben je vois que je suis pas la seule a rectifier

Ben disons que si on rectifiait toutes les fautes de tous les messages de charles on aurait pas fini ...

dark_crystall a écrit : Ben disons que si on rectifiait toutes les fautes de tous les messages de charles on aurait pas fini ...
ben je ne pense pas faire beaucoup de fautes et désolé si il vient pas de moi je l'ai mis car je le trouve émouvant.
les remarques fait les un peu aux autres

charles a écrit :

ben je ne pense pas faire beaucoup de fautes
Disons que tu fais un condensé...

et désolé si il vient pas de moi je l'ai mis car je le trouve émouvant.
Dans ce cas tu aurais pu le préciser

les remarques fait les un peu aux autres
Les remarques Dark les fait à qui elle veut dans la mesure où c'est justifié je ne vois pas le problème

Les autres ont leur lot aussi s'ils les méritent ya aucun problème mdr ^^

Si tu mets un texte dans le sujet "Vos poèmes", ça sous-entend qu'il est écrit par toi... Il était logique que je te fasse la remarque. Et pour l'orthographe, ce n'est pas moi qui ai commencé, mais d'autres membres, tu vois bien qu'il n'y a pas que moi qui relève ta grammaire douteuse !

C'était un soir,
Et je suis allée m'asseoir ,
Dans ma baignoire ,Et puis discretemnt ,
Je suis allée chercher un couteau ,
Et je me suis couper une veine,
Mon sang etait devenu encre,
Je m'en suis donc servi pour écrire,
Sur le mur,
Je t'aime!
Et puis j'ai senti un vent glacial m'envahir,
J'ai comencer a crier,
Et toi tu es venu,
Tu m'as vu là allongée en gémissant ,
Tu m'as pris dans tes bras,
Et tu m'as dit :"je t'aime".
C'est là que j'ai compris ,
Que je m'etait trompée,
Alors Amour si tu m'aime comme tu me las dit ,
Mets moi dans un cerceuil ,
Met toi dedans avec moi ,
En lasse moi ,pose tes lèvres sur les miennes,
Et coupe toi a ton tour une veine ,
Laisse nos sang se mêler ,
Et nos cheuveux s'enmêler .......... voila ce que j'ai ecrit comme sa Moral : tout le monde est content par ce que tout le monde meurt ^^

De ta baignoire tu arrives à aller chercher un couteau? T'es forte...

non si t'as de l'imagination je reviens dans ma salle de bain ....

Ah bah oui alors...je comprends mieux...

lol Isis imagination moi je dis ...

Mes pieds me font mal
Mes baskets clignotent
Je rale,
Enfile des bottes
Et pars vers les horizons celestes
Qui n'ont pas pris leur veste